Restaurant Le Provençal : que de bruits !...
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Je continue mon tour des « cantines » Valerguoises pour faire étape au Restaurant Le Provençal. Vous aurez remarqué que je n’ai pas écrit « Resto » Le Provençal, tout comme je n’écrirai surtout pas, car je tiens à ma vie, que c’est son « proprio » Vincent Valat, le « cuisto », qui m’a accordé une interview.
Avant de rentrer dans le vif du sujet, pour celles et ceux qui ne connaissent pas le Provençal, l’établissement se trouve sur la Place Auguste Renoir, et est dirigé, je le rappelle, par Vincent Valat qui en est aussi le Chef de cuisine, et dont le CV en ferait rêver plus d’un (on y trouve, entre autres, les Frères Pourcel, excusez du peu !). Dans l’équipe figurent également la charmante, très professionnelle et efficace Feyrouz qui est principalement en charge de la salle, et qui, de surcroît, est la compagne de Vincent (condoléances Fey !) ; et enfin Bouss, le commis, dont la compétence n’a d’égale que son dynamisme et sa bonne humeur
permanente (à tel point que je le surnomme le « commis-que »). Alors, l’actualité du Provençal, à court et moyen terme c’est quoi ? c’est déjà, dès le samedi 25 février, à partir de 21h, la reprise des soirées Salsa animées comme d’habitude par FIT’Z. Sinon, pour ce qui concerne les animations estivales hebdomadaires, la reprise des méchouis du jeudi soir se fera le jeudi 29 juin et la reprise des soirées dansantes du vendredi soir le vendredi 30 juin. Petites exceptions à ce calendrier estival : les fêtes d’été de Valergues et de Lansargues, pendant lesquelles il n’y aura ni méchouis ni soirées dansantes. A noter que les thèmes des soirées dansantes seront communiqués au fur et à mesure via Facebook et par voie d’affichage chez les commerçants de Valergues (et de Navarre bien sûr !).
Alors, comme je l’ai fait avec Thomas et Andrea pour l’épicerie fine italienne, et comme je l’ai avec Lolo pour Lolo Snack, j’ai posé LA question à Vincent : as-tu des projets pour le Provençal ? la réponse a été oui, il m’en a fait part, m’a même autorisé à en parler, mais j’ai jugé que, dans cet article du mois de février, il était un peu prématuré de les évoquer. A suivre, j’y reviendrai, promis…
Pour conclure, car j’ai gardé le meilleur pour la fin... à la demande expresse de Vincent, je reviens sur des bruits persistants qui circulent depuis plusieurs semaines dans Valergues et qui concernent l’avenir du Provençal : le restaurant n’est, ni vendu, ni à vendre… fin des bruits !
Chuuut !!!
Robert Colin